» Blanche Barjac, Madame B, est nettoyeur de profession. Malfaiteurs, tueurs à gages et meurtriers, tous font appel à elle pour qu’il ne reste plus une trace de leurs crimes et délits.
Après plusieurs années passées à s’imposer dans ce monde d’hommes, Blanche est devenue une professionnelle respectée dans ce milieu si particulier. Digne héritière de son beau-père qui l’a formée, elle est reconnue pour son efficacité, sa discrétion et son savoir-faire. Si après chacune de ses interventions Madame B garde un indice comme « assurance-vie », elle n’est pas la seule à accumuler les preuves compromettantes.
En menant l’enquête sur le maître chanteur qui la persécute et la fait douter chaque jour un peu plus de sa santé mentale, Blanche revient sur son passé et réalise que malgré les nettoyages, toutes les taches ne sont pas effacées. Et que chaque acte entraîne des conséquences. »
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Encore une fois une très bonne lecture, ça devient une habitude avec cette auteure !
Malgré tout, j’ai trouvé ce livre un peu en retrait par rapport aux 2 précédents que j’ai lu « les jumeaux de piolenc » et « le prieuré de crest ».
Certains passages sont beaucoup trop rapides et pas assez développés, un peu comme des rustines posées là pour faire le raccord entre 2 passages (par exemple, un sniper qui tue un protagoniste de l’histoire et c’est juste posé là entre 2 lignes).
Je trouve le développement un peu moins « profond » que les deux livres cités plus haut.
Mais par contre, quel rythme ! Si vous voulez un livre pour savoir de quelle couleur sont les tapisseries du voisin, passez votre chemin ! Ça bouge tout le temps ! À un tel point que parfois, j’ai même trouvé que le découpage en chapitre aurait presque pu être évité tant tout s’enchaîne vite !
J’ai également trouvé très original le fait que le personnage central soit une « nettoyeuse » , c’était pour ma part la première fois que je lis un livre avec cette « profession » en trame de fond. Et pour le coup, on se détache jamais de ce contexte qui est vraiment au cœur de l’histoire, on aime ou on n’aime pas, moi, j’ai adoré !
C’est rare que je dise ça, mais ce livre aurait pu être parfait avec 300 pages de plus !
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