« Les scientifiques comme les religieux ne peuvent expliquer ce qu’elle est ni d’où elle vient.
Elle va transformer pour toujours le quotidien du monde entier, en particulier l’existence d’une mère et de sa fille.
Tout en posant la question qui nous obsède tous… Nos vies ont-elles un sens ?Un roman au suspense saisissant, hommage lumineux à Barjavel et à la littérature qui divertit, qui interroge.
Maxime Chattam comme vous ne l’avez jamais lu. »
🟢🟢🟢🟢🟢
On démarre cette lecture dans un monde presque post-apocalyptique où les phénomènes météorologiques dictent la vie sur terre.
Je n’aime pas du tout ce genre d’histoire à la limite du fantastique, mais… La plume est magistrale, on ne peut pas fermer ce livre. Il nous happe dès le début, je n’ai pas réussi à le lâcher.
Ne vous attendez pas à de l’action, par rapport à mes lectures habituelles, clairement il n’y en as pas, enfin du moins pendant un bon moment. Mais ce livre émet une sorte d’attraction, tout est tellement bien emmené, que même sans pure action on ne s’ennuie pas une seule seconde.
C’est un style d’écriture que je ne connaissais pas de cet auteur, à la limite entre l’ésotérisme et la SF, tout en restant très réaliste. Un mélange des genres qui porte une histoire vraiment très originale. Du jamais-vu pour ma part.
Aucune fausse note, tous les éléments de cette histoire s’imbriquent parfaitement.
Le travail de recherche sur les différents sujets abordés est très poussé. C’est impressionnant, tout est parfaitement maîtrisé, précis et sans aucune lourdeur.
Le travail sur les personnages est juste exceptionnel. Aucun ne se ressemble, ils apportent tous quelque chose à l’histoire à leur manière.
Les personnages principaux sont prenants et attachants. C’est vraiment un exemple en la matière.
Et cette fin… Elle est juste géniale. Une fin ouverte ou presque. Toutes les réponses ne sont pas servies sur un plateau. L’auteur laisse place à la réflexion, s’adresse même aux lecteurs dans les remerciements en emmenant une sorte d’interaction très bien pensée.
Ce livre n’aura pas de juste-milieu, on va l’adorer ou le détester.
Qu’on aime ou pas ces œuvres, Maxime Chattam montre avec ce livre qu’il est un génie de l’écriture dont il maîtrise à la perfection différents styles.
Informations supplémentaires
Maison d’édition :
Acheter ce livre :
Réseaux sociaux de l’auteur :
Je n’ai pas adoré ce roman.
Je ne l’ai pas détesté non plus.
Je me laisse toujours envoûter par la plume de Maxime Chattam et ne suis pas parvenu à décrocher avant d’avoir fini ce roman.
Par contre, certains points me dérangent énormément. Une fin inadaptée à ce type de roman. Une fin ouverte qui n’en est pas vraiment une. Maxime Chattam qui devient narrateur pendant quelques paragraphes afin d’expliquer en quoi cette fin ouverte était essentielle afin de permettre à chacun de se faire son opinion sur la situation vers laquelle l’humanité fonce.
Un roman très long pour en arriver à une fin qui permettra aux lecteurs de se remettre en question… Du moins si l’on ne prend pas la peine de lire le dernier chapitre qui vient, en quelques pages seulement, mettre un terme à la liberté du lecteur. Tous liront le dernier chapitre et tous seront aiguillés vers la solution voulue par Maxime Chattam.
Un excellent roman à mes yeux, mais une fin médiocre qui gâche tout.
Je tenais également à rajouter que je suis également déçu de constater que les 4 ou 5 chroniques parues avant la publication du roman (Service Presse ou partenariat) sont toutes positives de manière excessive.Tandis que les 3 autres publiées par la suite sont diamétralement opposées. Cette peur de s’attirer la foudre de la Maison d’éditions concernée est flagrante.
Pour ma part j’ai réellement adoré ce livre.
Service presse ou pas, mes chroniques sont toujours honnêtes et basées sur mon ressentie. J’ai d’ailleurs pas mal de SP où j’ai fait des chroniques négatives au point de m’attirer la foudre de certains auteurs…
Oh, je n’ai pas encore lu Lux mais il a l’air à la fois très particulier par rapport aux autres romans de l’auteur mais aussi terriblement prenant. Je me le note 🙂